"Un monde existe-t-il sans notre regard ? Oui, à l’évidence, mais
il ne nous révèle que ce que nous voulons y voir, et c’est notre regard qui lui
donne un sens."
Toujours à
la recherche d’un roman de préférence de fantasy. On m’a proposé celui-ci. Du
fantastique, un voyage, une belle promesse exotique. J’ai prit, accrochée par
la couverture et la quatrième agrémentée d’un dessin de constellation, comment
ne pas céder ? Tout reste dans le thème du livre. Globe-trotters vous
pouvez y aller.
Cornélius
est un marchand de tissus. Un jour, il découvre l’existence de cette sublime
toile de nuages. Un tissu capturant la couleur du temps, qui ne se trouve que
sur l’île d’Orbae, là où se trouve la Montagne bleue. Personne n’a entendu
parler de cet endroit, mais qu’importe, il
part en quête de cette toile.
Ziyara
gardienne de chèvres se retrouve adoptée par l’océan. La voilà écumant les
flots de long en large.
Deux destins différents qui
pourtant ne tarderont pas à se croiser.
Après des
études de communication visuelle, François Place devient illustrateur français
avant de se mettre à l’écriture jeunesse. Il écrit un Atlas en trois tomes sur
Orbae, Le secret d’Orbae est sa
prolongation. Il reprend l’univers avec de nouveaux personnages.
Un magnifique
voyage dans un monde totalement étranger. On y rencontre des créatures
fantastiques, des animaux inconnus mais également différentes cultures en
fonction des pays que traversent les héros. Tout ceci agrémenté de rencontres
sympathiques ou pas. Le récit est riche et diversifié. J’ai vraiment voyagé
avec eux dans un univers très exotique. Même si c’est dépaysant, on garde
quelques repères puisque certains pays trouvent racines dans une culture
réelle. Le roman se présente en deux parties. L’histoire de Cornélius et celle
de Ziyara, chacune racontée d’un point de vue interne avant de se rejoindre.
L’écriture elle aussi fait voyager.
Le secret d’Orbae, François Place, Casterman, 2013, 421 pages
ABC Challenge 2015
je ne trouve pas de que je recherche sur se site il faudrait en dire d'avantage je pense
RépondreSupprimermerci de votre comprention
Quelles sont les cultures qui prennent racines dans des cultures réelles ?
RépondreSupprimer